RICHELIEU– Le 15 mars dernier, le maire de Richelieu, Jacques Ladouceur et son conseil municipal ont reçu plusieurs dizaines de convives afin de célébrer la réouverture du centre communautaire Amédée-Ostiguy. Le bâtiment a subi une véritable cure de rajeunissement et est désormais doté de tout nouveaux équipements de scène. Cette réfection survient après l’octroi par Emploi et développement social Canada d’une subvention de 20 000$ pour le remplacement du plancher de la grande salle.
Un plancher désuet
C’est l’état de désuétude prononcée de l’ancien plancher de parqueterie qui a été l’élément déclencheur de ces rénovations, mais une analyse approfondie des installations a rapidement dévoilé plusieurs autres éléments à corriger. Un premier projet a donc été lancé en mars 2018, lequel incluait la réparation de la toiture, le changement des portes et des fenêtres, l’installation d’un nouveau système de ventilation et la révision de l’électricité et de la plomberie de la grande salle.
Répondre aux besoins de tous les organismes
La Ville de Richelieu a ensuite consulté l’ensemble des organismes utilisant le lieu afin de s’assurer que le projet réponde à leurs besoins. Plusieurs éléments ont été ajoutés après cette consultation, comme la modification des divisions, de nouvelles toilettes, un nouveau réfrigérateur commercial, ainsi qu’un tout nouvel équipement de scène avec praticables rétractables, rideaux de coulisse et les installations requises pour l’éclairage, la projection et la sonorisation.
Cette consultation était essentielle pour monsieur Ladouceur : « Notre centre communautaire est fréquenté par des organismes de tous genres. Le lieu devait répondre à la fois aux besoins des 300 enfants du camp de jour, de nos 100 bénévoles de la Guignolée et des membres de la FADOQ. Nous avions aussi l’idée depuis plusieurs années d’offrir un véritable lieu de spectacle aux Richelois. Nous avons donc revu le projet pour qu’il corresponde à toute la communauté. »
Outre la subvention octroyée, notons que ces travaux ont été financés avec les surplus accumulés de la Ville de Richelieu.
Photographies: André Corbeij © et Gracieuseté